jeudi 3 novembre 2011

Mal ère.

Voici un dernier poème de ma composition datant de 2008.


Elle sombre mon âme
recroquevillée dans le noir
se battant à coup de larmes
transpirant de désespoir.

Comme un torrent de pluie
troublant le silence de la nuit ;
Foudroyée que je suis
de ne pas être ouïe.

Elle fût plusieurs fois trahie
par ceux quelles croyait être ses amies ;
Beaucoup trop de confidences
et pas assez de méfiances.

Évanouie cet insouciance
du temps de l'enfance.
Voici venir l'indifférence
et l'errance de l'adolescence.

Cherchant de l'affection
chez des gens de transition
récoltant leurs compassions
comme une bénédiction.

Voilà mon enfer ;
L'absence de ma mère
à quel déception
que cette dépression.

Houleuse naissance.

Un autre poème de ma composition datant de 2008.


A l'aube des années quatre-vingts.
Lors de la grève des médecins ;
Le bonheur qui aurait dû être le tien
se mua en chagrin.

Après des heures d'errances
et d'attente en souffrance ;
Vînt enfin la délivrance
qui créa cette distance.

Car ce destin fragile
mit nos vies en périls ;
gâchant ainsi cette merveille
qu'est l'instinct maternelle. 

La victoire de l'amour.

Voici le premier poème que j'ai composée en 1998 pour un travail scolaire.


Par une belle nuit d'été
nous, nous sommes rencontrés.
Au fur et à mesure, que nos liens se créaient ;
Je réalisais que t'aimais en secret.

Ne récoltant que ton amitié,
mes sentiments se sont transformés.
Toi, tu me voyais tous les jours ;
ainsi, ton amitié, s'est changée en amour.

Notre amour se serait exprimé,
s'il n'y avait eu cette timidité.
Ainsi, aura-t-il fallu un drame,
pour que tu me déclares ta flamme.

Quand nos lèvres se sont enfin croisées ;
J'ai compris que je t'avais toujours aimé.
Tu as réussi à faire chavirer mon coeur
et depuis je frémis de bonheur.

Même, si parfois j'ai des idées noires,
ou quand nous sommes dans le désespoir ;
Saches que mon plus beau rêve,
est que notre amour soit sans trêve.